
On en parle partout : l’intelligence artificielle. Elle écrit des textes, fait des images, répond aux questions, résout des problèmes. Impressionnant, non ?
Mais au milieu de tout ça, une question me trotte dans la tête : est-ce qu’on ne risque pas d’oublier ce qui fait vraiment notre humanité ?
Une machine calcule plus vite que moi, mémorise mieux que moi, apprend sans se fatiguer. Mais… elle n’aime pas. Elle ne console pas. Elle n’a pas ce petit sourire qui réchauffe quand la journée est lourde.
Le danger, ce n’est pas que l’IA soit plus forte que nous. Le danger, c’est que nous nous mettions à croire que seuls comptent la performance et l’efficacité. Que nous oubliions que l’essentiel, c’est l’intelligence du cœur : la compassion, la tendresse, l’attention à celui qui souffre.
En 2025, on a besoin de progrès, oui. Mais pas de progrès sans âme. Car sans amour, même la meilleure technologie devient froide, parfois dangereuse.
Alors la vraie question est peut-être simple :
👉 Dans ce monde qui court après la puissance, est-ce que moi, je prends encore le temps de regarder l’autre dans les yeux ?
👉 Est-ce que je nourris cette intelligence-là, celle du cœur ?
Parce que c’est la seule que les machines ne voleront jamais.

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