
Depuis toujours, on cherche à définir “l’homme parfait”. Certains pensent que c’est celui qui réussit tout : carrière brillante, corps idéal, famille modèle. D’autres imaginent une personne sans défaut, toujours juste, toujours gentille, sans jamais se tromper.
Mais en réalité, l’homme parfait… n’existe pas. Car la perfection humaine n’est pas l’absence d’erreurs ou de fragilités. Ce qui rend quelqu’un grand, ce n’est pas d’être sans faille, mais d’être capable de grandir à travers ses limites.
L’homme “parfait”, c’est peut-être celui qui accepte son humanité, qui reconnaît ses erreurs et apprend d’elles. Celui qui sait demander pardon, qui reste humble malgré ses réussites, et qui continue de chercher à aimer et à comprendre les autres.
Dans un monde où l’on court après des modèles irréels, faits de filtres, de performances et d’illusions, nous oublions que la vraie force humaine est ailleurs : dans la sincérité, dans la capacité à se relever, à écouter, à partager.
Alors, qui est l’homme parfait ?
C’est celui qui ne cherche pas à l’être, mais qui chaque jour essaie d’être un peu plus vrai, un peu plus humain, un peu plus tourné vers les autres.

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